Près d’un enfant sur trois en France n’aime pas l’école. Un chiffre alarmant qui soulève de nombreuses questions sur l’enseignement, l’environnement scolaire et le bien-être de nos bambins. Comment réagir lorsque notre enfant exprime un dégoût pour l’école ? Quelles solutions peuvent être envisagées pour transformer cette aversion en enthousiasme ?
L’école est censée être un lieu d’apprentissage, de découverte et d’épanouissement. Pourtant, pour certains enfants, elle devient une source d’angoisse, de stress et de mal-être. Face à ce constat inquiétant, nous avons mené notre enquête sur les solutions possibles lorsque l’enfant n’aime pas l’école.
Les cours particuliers, une solution coûteuse
Face à un enfant réfractaire à l’école, des solutions efficaces et diversifiées existent, à l’image de celles proposées par My Sherpa. Cette entreprise d’enseignement privé offre beaucoup de cours, allant des plus traditionnels tels que les mathématiques, le français, l’anglais, la physique et la biologie, jusqu’aux plus spécifiques comme le droit, l’histoire, la philosophie, l’économie, la programmation informatique, voire même les langues étrangères telles que l’espagnol, l’italien, le russe et le chinois.
L’offre de My Sherpa s’étend sur tous les niveaux d’enseignement, du primaire à l’adulte, et vise à accompagner chaque élève, quel que soit son cheminement scolaire.
En plus des cours particuliers, ils proposent des bilans d’évaluation, des conseils d’orientation, des cours en petits groupes, et même des stages de préparation pour le CE1D et le CEB.
| 📚 Cours particuliers | Mathématiques, Français, Anglais, Physique, Biologie, Droit, Histoire, Philosophie, Économie, Programmation informatique, Espagnol, Italien, Russe, Chinois |
| 🎓 Niveaux d’enseignement | Primaire, Secondaire, Adulte |
| 📅 Services additionnels | Bilans d’évaluation, Conseils d’orientation, Cours en petits groupes, Stages de préparation pour le CE1D et le CEB |
| 🌍 Villes desservies |
Paris, Marseille, Lyon, Toulouse, Nice, Nantes, Strasbourg, Montpellier, Bordeaux, Lille.. |
Comprendre la phobie scolaire
Lorsqu’un enfant se montre réticent à franchir les portes de l’école, il ne faut surtout pas minimiser cette attitude. Ce refus peut être l’expression d’un mal-être, voire d’une anxiété, traduisant une volonté farouche d’échapper à une situation qui le perturbe.
Il est donc nécessaire de ne pas le laisser s’enfermer dans ce comportement car cela ne ferait qu’accentuer son malaise.
Les causes de ce refus peuvent être innombrables : une angoisse de la séparation, des difficultés à s’intégrer socialement, une situation de harcèlement, un manque de confiance en soi, des problèmes d’apprentissage, des exigences trop élevées, une surprotection parentale, une mauvaise gestion du changement ou encore des tensions familiales.
- Angoisse de la séparation
- Difficultés à s’intégrer socialement
- Situation de harcèlement
- Manque de confiance en soi
- Problèmes d’apprentissage
- Exigences trop élevées
- Surprotection parentale
- Mauvaise gestion du changement
- Tensions familiales
Le rôle des parents dans la gestion de la phobie scolaire
Il incombe aux parents de chercher à saisir l’origine de ce refus et de pousser leur enfant à affronter ses appréhensions. Pour gérer cette situation, les parents ont le devoir d’exiger que leur enfant aille à l’école, de l’encourager à faire face à ses peurs et de collaborer étroitement avec l’enseignant. Il est aussi fondamental d’aider l’enfant à identifier ses émotions et de prévoir un moment de la journée pour échanger sur ses inquiétudes.
L’implication des activités extrascolaires
Les activités en dehors de l’école peuvent aussi jouer un rôle important dans l’appréciation de l’école par l’enfant. L’engagement dans des activités ludiques et éducatives comme le sport, l’art ou la musique peut aider à réduire le stress et à augmenter l’estime de soi. Cela peut également favoriser le développement de compétences sociales, d’autonomie et de responsabilité.
Ces activités peuvent aider à créer un équilibre entre les exigences académiques et les loisirs, réduisant ainsi la pression et l’anxiété associées à l’école. Elles peuvent également aider à développer des compétences transversales qui peuvent être bénéfiques dans le cadre scolaire.
L’implication dans des activités extrascolaires peut aussi favoriser un sentiment d’appartenance à une communauté, ce qui peut aider à contrer les sentiments d’isolement ou de rejet que certains enfants peuvent ressentir à l’école. Ainsi, il peut être utile d’encourager l’enfant à participer à des activités qui l’intéressent, afin de favoriser son épanouissement personnel et social.
Mon enfant n’aime pas l’école : que faire ?
Thomas (Nancy) : « ma fille de 4 ans, refusait catégoriquement d’aller à l’école »
J’ai vécu une situation similaire avec ma fille qui, à 4 ans, refusait catégoriquement d’aller à l’école. Tout comme le parent mentionnant son fils pleurant à l’idée de l’école, l’angoisse et la peur étaient bien présentes chez ma fille. Elle se plaignait souvent de maux de ventre, symptôme fréquemment observé chez les enfants qui ont du mal à s’adapter à l’école.
Les solutions face à ce genre de situation ne sont pas universelles. Dans notre cas, nous avons envisagé de retarder sa rentrée scolaire comme certaines familles le font. Nous avons finalement décidé de ne pas prendre cette voie.
Nous avons opté pour une approche plus soutenue, en lui offrant encouragement et soutien continus. Nous avons fait appel à un professionnel pour une intervention psychologique. Cela a grandement contribué à résoudre ses problèmes d’angoisse face à l’école. La mise en avant de l’importance de l’école pour son développement social a été un argument de poids pour notre fille.
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